Georges Harrison - My Sweet Lord John Lennon - Imagine Rod Stewart - Maggie May The Rolling Stones - Brown Sugar Tom Jones - She's Lady Three Dog Night - Joy to the World Led Zeppelin - Stairway To Heaven T. Rex - Get It On Marvin Gaye - What's Going On? Isaac Hayes - Shaft
Middle Of The Road - Chirpy Chirpy Cheep Cheep
The Who - Won't Get Fooled Again Led Zeppelin - Immigrant Song Al Green - Tired of Being Alone Cat Steevens - Peace Train
Ike & Tina Turner - Proud Mary
John Kongos - He's Gonna Step On You Again Slade - Coz I Luv You Ecoutez la Compil'
I Got No Time/ Searching For A Place To Hide DOGFEET- Since I Went Away/ Evil Woman MIGHTY BABY- Devil’s Whisper/ Virgin Spring HUMBLE PIE- I Don’t Need No Doctor/ Song For Jennie PLUTO- Ragabone Joe/ Stealing My Thunde SPONTANEOUS COMBUSTION- Lonely Singer/ 200 Lives/ Leaving COMPIL'71 bis by The Zepphil on Grooveshark
Led Zeppelin IV 1° UK 1 - Nov 1971 (78 weeks), Grammy Hall of Fame in 1999 (1971), RYM 1 of 1971, BEA 1 of 1971, 2 x Diamond in Canada (certified in Jun 1995), US sales 23 M (according to RIAA), US 23 X Platinum (certified by RIAA in Jan 2006), UK 6 x Platinum (certified by BPI in Nov 2007), France 2 X Platinum (certified by SNEP Oct 2001), France (InfoDisc) 2 of 1971 (peak 2, 73 weeks), The Rolling Stones
Sticky Finger 2° UK 1 - May 1971 (26 weeks), US num 1 for 4 weeks - May 1971, US 70s 1 - May 1971 (4 months), Germany 1 for 4 weeks - Jun 1971, Norway 1 - Apr 1971 (26 weeks), Australia num 1 for 2 weeks - Jul 1971, Dutch 70s 1 - May 1971 (23 weeks), Australia Goset 1 - Jul 1971 (13 weeks), Grammy Hall of Fame in 1999 (1971), John Lennon
Imagine 3° UK 1 - Oct 1971 (99 weeks), US num 1 for 1 week - Oct 1971, Norway 1 - Oct 1971 (46 weeks), Australia num 1 for 2 weeks - Jan 1972, Japan 1 for 1 week - Feb 1972, Dutch 70s 1 - Oct 1971 (18 weeks), The Who
Who Next 5° UK 1 - Sep 1971 (18 weeks), Grammy Hall of Fame in 2007 (1971), D.Marsh 1 of 1971, US 3 X Platinum (certified by RIAA in Feb 1993), RYM 2 of 1971, BEA 2 of 1971, Dutch 70s 4 - Sep 1971 (12 weeks), Jethro Tull
Aqualung 15° US 3 X Platinum (certified by RIAA in Nov 1989), Norway 3 - Apr 1971 (31 weeks), Australia Goset 3 - Jul 1971 (16 weeks), UK 4 - Apr 1971 (22 weeks), Germany Gold (certified by BMieV in 2008), US 70s 7 - Jun 1971 (4 months), ********************************************************************************************************************************************************************************************************
Mes préférés pour 1971
Gravy Train-A Ballad Of A Peaceful Man Dog That Bit People-Dog That Bit People Incredible String Band- Be Glad For The Song Has No Ending Ancient Grease-Women And Children First David Bowie-The Man Who Sold The World May Blitz-2nd Of May Emerson Lake & Palmer- Tarkus NORMAN HAINES BAND- Den Of Iniquity PETER BARDENS- Peter Bardens DR Z- Three Parts To My Sou PLUTO- Pluto
Créé à l’initiative du guitariste chanteur Norman BARRETT, GRAVY TRAIN fait parti de ces groupes qui au début des années 70 sont dans l’ombre des géants du progressif comme YES, PINK FLOYD, JETHRO TULL.
Le deuxième album, salué comme le meilleur disque par de nombreux critiques et les adeptes, est sorti plus tard la même année (décembre 1971) et il est intitulé "(Ballad of) a Peaceful Man". Les solos sont plus concis et plus contrôlés et les compositions sont bien meilleures. Il est également moins bluesy, très bien produit et avec plusieurs bonnes parties multiples de chant, enrichissant grandement la texture musicale existante. Ils essaient également un morceau avec crochet, l'adorable "Home Again". Tandis quils tournent dans tout le pays pour se créer une audience, cela marque définitivement la fin du contract les liant à Vertigo pour manque de succès commercial.
Ce deuxième jour du mois de Mai semble symboliser la seconde chance dont dispose le trio après l'échec commercial de son premier effort. Malgré d'indéniables qualités, ce dernier n'aura séduit que quelques oreilles pertinentes ou hasardeuses. A travers ce nouveau disque, le groupe semble avoir réalisé que l'époque n'est plus vraiment propice aux illusions sonores enfumées, mais plutôt aux expérimentations solides et sombres ainsi qu'aux escapades aventureuses et éclectiques.
L’histoire n’en a d’abord retenu que sa triple pochette, dont la scandaleuse (pour l’époque s’entend) « drag cover ». Il faudra attendre plus de vingt ans et la reprise par un certain Kurt Cobain et son groupe sur leur « Unplugged in New York City » du morceau-titre, pour qu’on se souvienne que oui, finalement, ce « The man who sold the world » était un bon morceau. Et même le meilleur et d’assez loin de ce disque…
Pourtant, le casting est pas mal, avec Visconti à la basse et à la production, Woodmansey à la batterie, Ronson à la gratte, et Ken Scott qui assiste Visconti … Soit le producteur de « Ziggy Stardust » et la moitié des Spiders from Mars … Ronson est énorme sur ce disque. Il sauve presque par quelques solos dans un final rageur « The width of a circle », interminable titre d’ouverture qui fait penser à du Grateful Dead repris par Black Sabbath (ou le contraire, peut-être bien …), et enjolive heureusement « Black country rock » (titre hésitant entre heavy-rock et glam-rock) et « Runnin gun blues » sur lequel le caméléon vocal Bowie ne fait pas à mon avis un choix très heureux, trop dans les aigus, ce qui convient assez mal à un machin bluesy, par ailleurs quelconque…
Mais Ronson a beau se multiplier, il lui faut faire face à un Tony Visconti qui a profité de son rôle de producteur pour se faire mousser et mettre sa basse inconsidérément en avant dans le mix, et surtout à son patron, Bowie ne laissant guère de compositions inoubliables sur ce disque. Au contraire, il part sans trop de directions dans ce projet, multipliant balourdises (« All the madmen », c’est du fuckin’ prog qui veut pas dire son nom), ou citations par trop évidentes (« Saviour machine », assez intéressant cependant, n’est qu’une imitation de Scott Walker, modèle pas seulement vocal de Bowie). Et comme il le fera toujours par la suite, Bowie jette dans ses disques des passerelles vers de possibles futurs. Ici, c’est le dernier titre, totalement hors contexte par rapport au reste, qui retient l’attention. Il s’appelle « The Supermen », et par son titre, son thème, sa mise en place sonore et vocale, préfigure « Ziggy Stardust » et les dérives idéologiques du Thin White Duke …
« The man who sold the world », logiquement, ne fera parler de lui que par sa pochette … Bowie a toujours vite appris et retenu les leçons. Le disque suivant opèrera un virage radical. Il s’agit de « Hunky Dory » …
Au programme, trois mouvements chantés, entre émotion jazz et hymne héroïque, et quatre mouvements instrumentaux teintés de la virtuosité des trois interprètes. Le tout avec une reprise de thème impériale, pour donner à cette suite imposante un aspect encore plus grandiose. L'emphase, c'est ce qui caractérise le mieux cet album. Mais il s'agit bien d'emphase, et pas d'excès.
Le reste de l'album, plus prévisible, reprend des thèmes chers à ELP que l'on retrouve au détour de tous leurs albums : un petit coup de rockabilly ("Are you ready Eddy ?"), une reprise d'un thème classique adapté en prog' ("The only way" partiellement issu de Bach), et cet éternel mélange de mélodies sensibles et de rythmiques free-jazz unies dans la virtuosité.
En bref, "Tarkus" est l'un des albums les plus caractéristiques d'un trio génial, et l'un des piliers de sa grande époque. A ne pas manquer.
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